Rédacteur pour le figaro.fr, j’avais (et j’ai toujours en moi aujourd’hui !), l’envie de rompre avec une vie routinière, souvent peu exaltante, et partir voir si l’herbe est plus verte ailleurs. Le tout avec ma copine, devenue mon épouse.
J’ai fait part de ce souhait à mon patron de l’époque qui, plutôt que de me laisser partir définitivement,
Je n’étais pas mécontent de revenir, retrouver un cadre de vie plus sûr et confortable, mais au final j’ai très vite ressenti l’envie de repartir. J’éprouve aujourd’hui encore de la nostalgie pour cette parenthèse enchantée…