M**on entreprise fut à l’initiative de la rupture conventionnelle.** J’ai eu la possibilité de négocier mon départ et de ne pas pâtir de l’image négative d’un licenciement en interne et dans ma recherche d’emploi futur. Néanmoins j'étais d'accord pour partir, à condition de m'y retrouver financièrement.
Il ne faut rien écrire. Vous devez par ailleurs bien faire comprendre que vous souhaitez rester dans l’entreprise et que ce sont vos employeurs qui sont à l’initiative de la démarche.
Prenez votre temps et laissez passer les jours. De toute façon, rien ne se passe tant qu’il n’y a pas de signature conjointe.
Pour ma part, la rupture conventionnelle a été un outil « gagnant gagnant ». J’ai bénéficié des avantages financiers du licenciement et de l’image plus positive de la rupture conventionnelle en interne comme en externe.
Conclusions
Quand les deux parties sont d'accord pour se séparer, même si l'employé n'est pas à l'initiative de la rupture conventionnelle, c'est un moyen de séparation qui peut convenir mais vous devez négocier ! En effet, l'image de l'employé n'est pas écornée et ce dernier peut négocier à la hausse l'indemnité de rupture conventionnelle. Il s'agit donc de bien poser le pour et le contre. Encore une fois, nous rappelons qu'une rupture conventionnelle ne peut être signée que d'un commun accord. Et n'oubliez pas que la transaction est parfois plus adaptée que la rupture conventionnelle.
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