Cette clause, qui impose à un salarié de rester célibataire sous peine d'être licencié, est formellement interdite dans tout type de contrat rémunéré. Quelque soit l'emploi et le secteur, un employeur n'a pas le droit d'interdire à un salarié de se marier. La liberté de mariage étant une liberté fondamentale de l'individu.
En aucun cas un employeur n'a le droit d'instaurer une clause attribuant des droits ou obligations différents en fonction de son sexe, son ethnie, sa situation de famille, ses opinions politiques et religieuses, etc.
En signant cette clause, le salarié et l'employeur s'engagent à régler de manière extrajudiciaire tout conflit qui naîtrait de la relation de travail entre les deux parties. Autrement dit, à exclure le recours aux Prud'hommes au profit d'un autre mode de résolution des conflits.
Il est formellement interdit pour un employeur d'indexer le salaire d'un salarié sur un élément n'ayant aucun lien direct avec les activités de l'entreprise.
Ainsi, il est interdit d'indexer les salaires sur le SMIC, le niveau général des prix, etc.
Une telle clause autoriserait l'employeur à modifier le contrat de travail de son salarié, sans avoir à demander l'accord de ce dernier. Bien entendu, cette clause est illicite. Un employeur doit obtenir l'accord de son salarié avant de modifier son contrat de travail.
Cette clause prévoit une rupture automatique du contrat de travail d'un salarié, dès qu'il a atteint un certain âge. Par exemple l'âge de départ à la retraite. Comme les précédentes, cette clause est interdite.